19.03.2006
Parfois je me réveille avec le cauchemar de ne pas encore avoir mon diplôme. Si je n’avais pas la capacité, la lucidité, je me sentirais comme si j’étais en dehors d’un monde qui est déjà si loin, avec ses schémas et ses courses en montée. La vérité est comme un animal sauvage, peut-être un lièvre qui court. La raison pourrait être un voleur… L’objectivité est le sel de la vie, parfois elle sert à assaisonner notre existence, et nous ne devrions jamais l’oublier. Cela pourrait être comme un jeu dans le parc d’attractions. Aimes-tu la musique fraîche et entraînante ou préfères-tu celle imprégnée de passé ? Comme un bien, la musique nous sert à conserver les souvenirs, comme un disque dur ou une bibliothèque d’émotions. Mais elle ne devrait pas seulement toucher notre esprit, elle devrait aussi caresser notre peau et toucher notre cœur, nous remplissant de joie et d’amour.
Chaque personne étudie une clé pour sortir de sa propre prison, un langage visuel, un logiciel qui sert à communiquer ou même un moyen de réaliser son propre corps. Parfois, un percepteur passe pour recouvrer, mais nous savons que le savoir est interdit, un tabou. Les gens semblent éteints, ils vivent, mais ils ont disparu, comme si la vie s’écoulait sans laisser de traces. Ce que nous sommes ne peut pas être identique à ce que sont les autres. Ce que nous possédons, d’autres peuvent le posséder. Mais il y a quelque chose d’unique en chacun de nous, que personne d’autre ne peut avoir. Il n’y a rien en dehors de nous-mêmes. Le mal n’est qu’une ombre, et je ne le vois pas, car je vois l’atmosphère, je ressens la force de gravité de la terre qui nous unit. Je vois le brouillard, mais je sais qu’il y a toujours le soleil derrière, prêt à briller de sa lumière résolutoire. L’absolutisme de l’État, comme le fascisme, sont des institutions qui cherchent à supprimer la vie, mais nous résistons.
Aujourd’hui, l’utopie est à portée de main, il suffit d’éteindre les lumières pour voir ou ressentir, et peut-être comprendre que nous travaillons tous ensemble. L’utopie est un rêve qui peut se réaliser, un rêve partagé par tous. Nous ne devrions jamais oublier qu’il existe un Éden caché en dehors de nous, dans les villes et dans les jardins. Mais ce que l’on nous nie est la clé pour découvrir le vrai paradis, à l’intérieur comme à l’extérieur de nous-mêmes.
Dieu existe, tout comme l’Esprit Saint. Je suis comme un ordinateur, un compilateur de programmes. Et le résultat de ce que nous faisons apparaît sur l’écran de la vie. Ma vie est devenue un désert, avec des arbres morts sur lesquels accrocher des photographies de souvenirs. De temps en temps, quelqu’un arrive avec de petits cadeaux. Nous sommes des créatures en mouvement, et chaque action que nous accomplissons est un pas vers le bien, un pas vers la vérité. Nous ne devrions jamais oublier les jardins, car même dans un monde faux, ils nous donnent l’occasion de parler de la vie et des gens. Entrons en connexion, et nous découvrirons une nation gouvernée par des démons, mais nous pouvons la changer. Les gens sont distraits et trébuchent, mais cela ne se terminera pas ainsi. S’améliorer, grandir, est une partie importante de notre voyage.
Il est très important de ne pas oublier les jardins, car même dans un monde faux, ils nous donnent l’occasion de parler de la vie et des gens. Entrons en connexion, et nous découvrirons une nation gouvernée par des démons, mais nous pouvons la changer. Les gens sont distraits et trébuchent, mais cela ne se terminera pas ainsi. S’améliorer, grandir, est une partie importante de notre voyage.
Nous croyons que la vérité est comme un paradis refusé, mais il y a tellement de choses possibles pour nous tous. Il y a un Éden caché à l’extérieur et à l’intérieur de nous, un monde que nous pouvons créer ensemble. L’ignorance fait mal, tout comme le faux fascisme qui s’insinue dans nos vies. Mais nous pouvons tout changer, et ramener la vérité à la lumière. Le mal peut sembler une prison dans la vie, mais nous pouvons la briser. Nous sommes des êtres humains, pas une question de toit social ou d’égalisation. Nous pouvons briser les chaînes qui nous retiennent prisonniers. Nous sommes des êtres libres, créatifs, et nous pouvons changer le monde avec notre amour et notre compassion.
Nous sommes dans un monde qui semble renversé, mais nous pouvons le remettre en place, un pas à la fois. Nous ne devons pas nous plier au poids du mal, car nous pouvons le soulever ensemble. Personne n’a encore rien dit, mais nous pouvons être la voix qui change le monde. Nous sommes ici pour façonner l’avenir et créer une réalité meilleure pour tous.
Le chaos qui existe est normal.