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La gratitude

La gratitude

04.10.2005

Les gens ne veulent pas reconnaître le bien, bien que dans le pire de tout, tout semble normal, on pense… mais n’est-ce pas être en conscience active et connaissance du contemporain ? Cela ressemble à un repos aux yeux de ceux qui le voient là, ou, il n’y a rien, le monde est fini. Ils disent qu’un jour tu tomberas ! Quelle idiotie est en nous, peut-être du trop de mal acquis ou, de l’imposition ignorante et maligne à laquelle nous nous sommes soumis dans le silence, c’est un univers non déclaré coloré de lumière antichrist. Aujourd’hui encore, leur idée s’insinue, leur enfer sur terre. Le silence, l’horreur, le faux fascisme ensuite, faire disparaître la puissance qui est le summum de la cécité qui peut être créée, d’autre part en réalité nous continuons, même en négligeant le discours les natures ne peuvent pas changer, les objets se concrétiseront comme dans un dessin, à un certain point ils deviennent nos cibles, sans raison la même.

Parler à la première personne est si difficile, as-tu vu ceux qui voulaient changer le monde, pourquoi se sont-ils arrêtés ? Tout est disponible ici, concrètement c’est un désastre peut-être : un jour nous renaitrons bienheureux. Un dessin créé avec le temps par les expériences qui nous cachent, un jour arrive comme un train, il se réalise même là où c’est interdit ou, impossible. Je veux au-dessus de l’ignorance, ouvre les yeux sur ce qui existe, cela dépend beaucoup de ce que tu vois. Un bien n’est pas impossible, cela se paie, un mal ne peut pas se réaliser. La réalité de ce monde est dans un autre, ou serons-nous tous à nouveau égaux, cela semble une situation embarrassante, dans le pire des maux que personne ne sait rien, aux yeux de tous il semble évident que nous sommes dans une position différente de celle déclarée par l’État, les institutions concernées disent mais, il semble qu’il ait disparu pour le moment. Il y aura une révolte, la fin du monde. Nous vivons une couverture psychophysique, une tromperie ou un dysfonctionnement existant créé, comme arrêtés sur place, ouverts dans la tête mais sans réponses. Essayez de donner des opinions, nous sommes tous là et personne ne peut juger, n’est-ce pas vrai ? Les textes seront des inconvénients. Chacun vit dans son propre monde, après nous vivrons tous ensemble et tout le monde saura tout sur tout. Quel est le futur certain du monde, une fissure et tout s’effondre. Non, c’est le faux fascisme qui occupe nos esprits pour que tout reste malsain et décrépit, comme la réalité d’un monde destiné à finir pour en commencer un nouveau, un ordinateur avec un logiciel très différent est nécessaire. Il y a une montagne à escalader, comme s’il n’y avait rien, ton mal doit être abattu ! La société est complètement désarticulée, vouée à la ruine des esprits et des corps. Un processus commencé ne peut pas être effacé, nous descendons toujours plus bas ou montons jusqu’à ce que cela se termine, ensuite il y a l’infini et rien ne peut être récupéré pour le ramener à la norme, la vie devient autre, de nouveaux habitats oui, mais post-mortem. L’enfer, le cimetière et un hôtel en santé, déjà existant et rénové la Terre. Laissez-nous seuls, États corrompus, ce qui se passe ne concerne plus votre cause… je plaisante, nous sommes tous humains, j’ai découvert un nouveau critère de puissance, celui adapté au commandement est exigé, ce que tu vois, ce que tu ressens, comment ne pas renouveler les sens selon l’expérience du juste, même si c’est anormal, une alternative nécessaire, merveilleusement la vie est histoire, comme du sens d’exclusion du mal même s’il y en a eu, ensuite on se retrouve guéri dans le bien, on ne peut pas continuer sans le réaffirmer. Ne jamais jeter cette affaire, cette fleur, la suite après de quoi avons-nous besoin, plus celui qui l’a déjà écrit, tous, du plus riche au plus misérable, nous vivons ou avons accepté le mal, comme je le dis souvent : c’est déjà fait mais cela n’a pas une existence conclue ou légale. Il est absurde de nier la présence évidente de ceux qui nous ont dit que c’était une affaire personnelle, l’abomination sera révélée, mal égal à mafia, rien n’est garanti de nos jours, comme l’hiver la saison prochaine, seul un bien nous aide à faire la différence. Vêtements nouveaux et modernes, d’un nouveau tissu frais, accessoires nouveaux plus en option. Un jour le voyage sera à sens unique pas comme aujourd’hui ou dans nos jours, avec la tête gâchée par des êtres éteints parmi nous, des parties de cerveau perdues. Ce sera comme se réveiller après vingt ans, le futur nécessaire.

Qui dit se contenter du mal qui est tout, au lieu d’un simple état de passage, pensez-vous que cela puisse coûter cher, d’admettre que tout ce qui est décrit dans sa nature est réel, il y aurait plus de liberté. Ah ! C’est agréable de porter les vêtements du bien. Jours, mois, années de vêtements et de prisons. Aujourd’hui, tout est défait, toujours tout à refaire, quelqu’un atterrit, tout semble comme on l’a laissé, nous sommes toujours là pour toujours, attention… le jour sera une fleur une fois que les barrières de l’ignorance commune auront été résolument abattues, une maladie comme celles déjà acceptées : et oui tu le savais, allez ! Il faut se contenter de sa position comme idéale, créée par nous-mêmes pour refléter notre désir personnel. La vie ne continue pas normalement mais, il y a un mal ou un bien, n’est-ce pas ? Ce n’est pas aussi léger à l’extérieur d’un silence, comment ne pas remarquer ce qu’il reste du fascisme.

Nous vivons prisonniers du mal comme des enfants, c’est drôle d’avoir peur de la chose la plus connue au monde même si jamais dite, seulement en art j’ai trouvé des correspondances, le reste est loi ou silence, peut-être l’ignorance et la lobotomie. Combien de pouvoir est caché dans ce qui nous est interdit ou non autorisé, combien il est plus facile de faire le bien, un simple coup de téléphone, un paiement accepté dans le monde entier… et tout ira bien. Au revoir… à la prochaine vie, maintenant appuie sur ce bouton, il y aura le silence et tout sera à toi. Ce serait comme renier de ne pas dire toutes les choses que l’on peut faire pour ouvrir l’infini ou, soi-même, on m’a dit de le faire seul mais, c’est un acte social global, le monde dans la possession du bien, ensuite rien, le néant, comme c’est laid cette période de perdition, de dissolution de l’âme mais derrière il y a une grande tromperie, on reste pris au piège, trahis au milieu des traîtres, c’est le contraire de ne pas exister, comme être personne, alors que c’était nous la dissolution ! Qu’elle est belle plutôt la liberté, j’ai découvert que c’est toujours nous, la réalisation maximale des rêves humains, cela devrait justifier ainsi même l’énorme controverse entre les gens, encore aujourd’hui arrêtés à : il n’y a rien, rien ne s’est passé. Donc rien c’est porter le mal en soi, alors peut-être qu’il disparaîtra autour. Il ne se dit jamais rien un jour cela nous tombera dessus, ce qui était déjà arrivé et ce qui arrivera, il vaut mieux se contenter de quelques objectivités, les gens pleurent qui sait s’ils existent encore… qui ne connaît pas la concrétude alors qu’il faut parler d’une nouvelle voix pour rester libres des faux réseaux, peut-être dans un autre monde faux parce qu’il y avait déjà un autre monde vrai, il faut s’exclure de trop d’ignorance et de l’œuvre de l’oubli. La vie est l’art, vivre c’est l’acteur qui joue les rôles d’un scénario, alors qu’il y a du chaos dans les esprits. Un ordre peut être atteint aussi naturellement, de toute façon ce qui existe peut être décrit partout, ce sont des voleurs ! Le présent est ce qui est praticable, un jour nous reviendrons, la nature seule fait le travail comme la neige tombe. Ils veulent nous faire taire “le bien” tous les jours, ne te crée pas trop de problèmes, ils créent le grave manque.

Souvenirs, images de vie, le futur est le présent, pas comme dire qu’à un certain point on doit y arriver, vrai comme il faut s’allier pour annihiler l’état du mal, nous déclarer dans un autre état, puis continuer. La soirée est très calme ce serait bien de penser qu’il n’y a que nous, pas tous… alors on dit peut-être qu’il y a le mal mais, de nos jours c’est sûr, il faut être vivant pour le savoir. Je crois qu’aucune demi-époque n’est aussi inutile que celle que nous vivons : le futur libère la paix des expériences dominées, la destruction du faux pouvoir. Ah oui ! Ils commandent et je vis dans une bouteille. Le bien nous submerge non ! C’est le mal qui nous a promis le faux, mais il suffit toujours d’élargir l’écran en panoramique et d’associer la carte géographique pour comprendre la communication, la confrontation des opinions communes, des dessins qui vérifient la réalité, un bien est juste comme les autres choses, en fait ce sont d’autres choses ou quelque chose comme ça. Une chose chère mais sûrement réalisable vraie, pas une réalité extérieure, un extérieur de la maison, unique à cet endroit : les prisons ou les vêtements.

Le monde porte une plaie, personne n’a la solution, voilà la vérité ou peut-être la dimension et la proximité du problème, cela peut signifier que le projet ne peut pas s’adapter mais la loi est une seule, unique de toute façon, les gens sont dissous oui mais le contexte n’est pas présenté, qui demande si le bien existe. On vit un mal organisé, cela semble un rêve, un cauchemar, l’important est de croire en Dieu dans un des pires endroits jamais existés comme celui-ci, dis-le à tous : même cela dépasse. De nouveaux pouvoirs, le pouvoir à nouveau. Il manque de reconnaissance dans un monde où règne une anarchie maligne, la dernière des choses réelles qui fait changer la pensée, créant la confusion. Les jeunes veulent faire le bien, cela doit arriver en commençant par ne pas reconnaître le mal mais, c’est le matin tout le monde dort c’est étrange.

Le bien sera un rêve pour beaucoup mais en réalité cela semble être la sortie du mal, il faut rester attentif à ne pas adorer ces animaux sans Dieu toujours déplacés par ce monstre, d’abord faire attention aux mots que l’on entend, et à leur signification tous ensemble dans la phrase. Celui qui a associé le bien et le mal pour les faire vivre ensemble, sera jugé au jour du jugement, s’ils ne l’ont pas déjà fait et de toute façon c’est très présent dans la vie de chacun, cela dépend de l’usage qu’on en fait, sauf celui commun de non-observation ou de malhonnêteté du bien. Personne ne le dit c’est le début d’une nouvelle ère, ne l’ont-ils pas encore compris ? Seul un bien peut programmer la vie, moi le maître et le moi. C’est peut-être aussi la faute du règlement multi-fasciste dans nos institutions ou de l’adoption du mal ensuite de nos jours c’est une position immortelle, celui qui programme un logiciel sans offenser n’est pas éteint, il faut au contraire être bon pour se débarrasser de tout et de tous. Le monde s’est arrêté, nous sommes tous arrêtés, les positions ont déjà été établies, le temps passe nous restons de plus en plus seuls, entre nous les choses deviennent plus claires, on dit si tu ne t’es pas encore réveillé, alors nous aurions vraiment mal fait.

Ici, en l’an zéro cinq, on remarque encore de nombreuses injustices, des abandons car tout est abandonné dans l’ensemble, il faut toujours une confrontation, comment vivre les jeunes sans histoire ou, bien comme produits légaux non présentés, peut-être faut-il un peu de gymnase. Des parties de cerveau attachées à soi-même font en sorte de ne pas parler, je veux un monde libre pas comme en Italie ou en Europe ensuite ce silence, enlevez les prisons, que les portes soient mises à leur place, comme les fenêtres. Ce n’est pas un rêve, si tu veux c’est la réalité plus tard. Le dernier cri garanti à cette vilaine réalité qui change jusqu’au bien absolu, la déclaration du jour que nous habitons choquera de plus en plus, un nouveau monde est l’avenir mais, le passé ne peut pas être effacé, il doit au contraire être récupéré pour créer une ligne continue.

Maisons, foyers, le soir, le matin, les lumières des lampadaires, la faculté de chacun à se récupérer aujourd’hui et à trouver le chemin, l’exclusion du mal provoque de nouvelles sensations. Beau le futur et tout l’art pour le rendre présent, qu’est-ce que demain. Nous sommes des puissances en Dieu environ quatre-vingt-dix pour cent des populations, la présence surprend toujours tout le monde mais ne t’arrête pas à la quantité, peut-être est-il encore trop tôt, aucun parent n’a l’intention de ne pas faire vivre ses enfants dans le mal et, d’ouvrir la bouche.



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"Si continua distrutti e stanchi per questa normalità, perché si accende o perché si spegne, non hai più le congiunzioni alle parole, ai legamenti o hai paura? Quella parete in realtà può caderti addosso o sarà già crollata."

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